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 Eva Cordell

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Le Fou du Roi
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Le Fou du Roi


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Date d'inscription : 08/08/2011

Eva Cordell Empty
MessageSujet: Eva Cordell   Eva Cordell EmptyMer 11 Avr - 12:17

Eva Cordell Hollidaygraingervp1
♔ E v a C o r d e l l

« Beauty. Is that a weapon ? »
feat. Holliday Grainger

LIBRE RESERVE(E) PRIS(E)

Evelyn Agnha Cordell, plus fréquemment appelée « Eva » depuis son arrivée en Angeterre – 18 ans – Née le 24 septembre 1511 à Dublin – Célibataire n’ayant que l’embarras du choix pour prendre un époux. – Marquise de Downshire – Orientation sexuelle : Hétérosexuelle, sans autre commentaire. – Que penser du Roi Henry VIII ? La demoiselle a un avis assez tranché sur la question. Selon elle, le Roi est bien loin de l’Irlande, et ne s’occupe que de Londres et de son entourage direct. La jeune femme a la sensation que le peuple anglais méprise complètement les Irlandais, qui ne sont pour eux que de lointains cousins retirés à la campagne. Un roi qui ne s’inquiète que de ses propres affaires est un mauvais roi. – Que dire sur la Religion ? Eva n’est pas convaincue de croire en Dieu. Oh, si on lui demande, elle sait très bien faire semblant. Mais, au fond, elle a davantage foi en les légendes merveilleuses que lui racontait sa grand-mère lorsqu’elle était petite qu’en la chrétienté. Dieu n’est qu’un farfadet de plus, finalement. – Et mes ambitions/espoirs/rêves, dans tout cela ? Sa première ambition est d’aider son ami Thomas Fitzgerald dans sa volonté de réduire à néant l‘influence d’Henry VIII en Irlande. Elle entretient avec lui une correspondance très régulière, de ce fait, car la mission qui lui a été confiée est d’espionner les grands de Whitehall pour glaner quelques informations intéressantes. Par ailleurs, son intention est de vraiment beaucoup d’amuser à la Cour d’Angleterre… Mais vous verrez bien assez tôt, lecteur, que le genre de divertissement qui intéresse la demoiselle n’est pas au goût de toutes les jeunes femmes de son âge.



AU CŒUR DE L’HISTOIRE

  • Eva est née en Irlande, pays qui, aujourd’hui encore, est cher à son cœur. Elle a cinq frères et deux sœurs. Et elle est la plus jeune la fratrie. Tandis que ses sœurs passaient leur temps à lire, à étudier, et à chanter en jouant de la musique, ses frères, eux, aussi intrépides qu’indisciplinés, ne se comportaient absolument pas comme auraient du le faire des fils d’une si noble famille, et passaient le plus clair de leurs journées à chahuter et à battre la campagne. Repoussée par ses grandes sœurs et méchamment rabrouée par ses frères, la petite demeurait en général absolument seule. Mais un jour, un garçon nommé Thomas s’intéressa à elle et commença à jouer avec elle. Ce Thomas était le fils d’un voisin. Les frères d’Eva le prenaient pour modèle absolu, car il était le gamin le plus courageux et le plus astucieux de tout le comté. Les sœurs d’Eva le trouvaient beau et valeureux, et soupiraient sur son passage. Eva ne le connaissait absolument pas, mais vous imaginez qu’elle fit bien des jaloux lorsque tous constatèrent que le vaillant Thomas se plaisait beaucoup en la compagnie de la petite dernière de la famille. Ainsi naquit une grande amitié, qui dure encore aujourd’hui, malgré la distance qui les sépare.
  • Thomas s’intéressait à absolument tout, et à chaque fois qu’il apprenait quelque chose de nouveau, il en faisait part à sa jeune amie, qui buvait littéralement ses paroles et aimait tout dans son enseignement. En retour, la petite fille débordante d’imagination lui racontait de belles histoires, et inventait des jeux amusants, lorsqu’ils se promenaient ensemble dans la forêt ou dans les champs. Quand il eut seize ans et elle douze, il s’amusa à lui confectionner une épée en bois, pour qu’ils puissent jouer aux chevaliers. Il lui apprit dans les moindres détails ce que ses maîtres d’armes lui avaient appris à lui. Ce qui n’était d’abord qu’un jeu devint une véritable passion pour Eva. Elle ne connut jamais je joie comparable à celle qu’elle éprouva le jour où, provoquée par l’un de ses frères une énième fois, elle ramassa une épée et lui en lança une autre, lui intimant par ce geste de se battre, s’il l’osait. Tous ses frères se mirent à rire, mais elle ne plaisantait pas le moins du monde. Voyant son air déterminé, son aîné se dit qu’il devrait peut-être lui donner une bonne leçon, et il se mit en garde. Je vous épargne les détails, car c’est la fin de l‘histoire qui détermina à jamais le cours de l’existence de notre héroïne : en un rien de temps, elle désarma son frère de façon parfaitement humiliante et repartit sans mot dire, emportant avec elle l’épée de son aîné en trophée.
  • Les parents de la demoiselle se sont vite inquiétés de voir Eva se battre à l’épée contre les garçons du Comté. Et, plus grave encore, ils étaient effrayés de voir sa dextérité et la facilité avec laquelle elle gagnait ses duels. Cela n’a rien de convenable plus une jeune fille noble. Comment allait-elle trouver un époux, si elle faisait peur à tous les jeunes gens de son entourage ? Le père d’Eva décida que son ami Thomas exerçait sur elle une influence néfaste. C’est la raison pour laquelle il décida de l’envoyer à Londres, où il lui avait trouvé une situation parfaitement honorable de dame de compagnie d’une grande duchesse, nommée Victoria Wellington. Il songeait que l’ambiance à la Cour et l’entourage de grandes dames permettraient à sa fille de s’assagir et de devenir plus douce. Son départ pour Londres fut un véritable déchirement. Elle supplia son ami Thomas d’empêcher cela, mais le jeune homme avait reçu l’interdiction formelle d’adresser la parole à Eva. Il lui dit qu’ils pourraient s’écrire, et que jamais il ne l’oublierait, mais qu’elle devait obéir à son père. C’est avec un air fort mystérieux qu’il ajouta qu’après tout, son séjours en Angleterre pourrait être profitable à l’Irlande tout entière, s’ils savaient en tirer parti. Malheureuse mais résignée, Eva quitta son pays natal, légèrement rassurée par les paroles du jeune homme qui, comme toujours, devait être entrain de forger quelque plan secret. Il lui dit qu’il lui en parlerait dès qu’il serait sûr de lui, et c’est avec cette promesse que la jeune femme s’en alla.
  • La Cour d’Henry VIII est un monde merveilleux, pour qui sait jouer un double jeu. Eva est une dame de compagnie hors paire. Elle est intelligente et a beaucoup de conversation. Elle sait coudre, danser, composer de charmants petits bouquets de fleur, et elle chante très bien si on lui offre un accompagnement musical. Toujours enjouée, toujours gaie et adorable, la jeune femme a su séduire son monde en un rien de temps. Mais il y a une chose qu’Eva aime par-dessus tout à la Cour du Roi d’Angleterre : les très nombreux tournois qui y sont organisés. Ce n’est pas qu’elle aime applaudir les chevaliers du haut des gradins. Non. Ce qui lui plait, c’est que n’importe qui a le droit d’y participer, du moment qu’il a un titre de noblesse à présenter. Comment cela « les hommes » ? Mais ceci n’est qu’un détail, lecteur ! Bien cachée sous un heaume, qui peut dire si Eva est homme ou femme ? Et sous quel nom se présente-t-elle, me demanderez-vous ? Mais il lui suffit de présenter le titre de noblesse de l’un de ses frères, Aymeric, a qui elle l’a volé avant de quitter l’Irlande. Et cela l’amuse profondément de gagner des duels et autres joutes équestres et de constater que les dames soupirent pour un « Chevalier Aymeric » qui est en réalité une femme tout comme elles. Vous vous demandez, lecteur, combien de temps cette supercherie va encore pouvoir durer, n’est-ce pas ? Considérez que la demoiselle ne se pose pas la question. Et quand les dames lui demandent quand elles auront le privilège de rencontrer son frère Aymeric ou pourquoi il ne réside pas à la Cour tout comme elle, la demoiselle se contente de répondre que son frère est quelqu’un d’extrêmement timide et secret, et qu’il n’oserait jamais adresser la parole à d’aussi belles dames qu’elles. En général, ce compliment suffit à les calmer, car Eva sait très bien que flatter la vanité d’une femme revient à amener un tigre à lui manger dans la main…



ET PLUS SI AFFINITE


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Thomas Fitzgerald feat Ben Barnes

Amis d’enfance, Eva et Thomas ont grandi ensemble. C’est lui qui lui a appris à manier l’épée et à monter à cheval, et c’est lui qui, voyant son agilité dans ces disciplines, l’a encouragée à s’entrainer. Conseil que la demoiselle a suivi avec grand plaisir, et qui lui a valu de se distinguer et de devenir extrêmement douée. Mais les parents de la demoiselle, ayant peur de la « mauvaise influence » qu’exerce Thomas sur elle, ont décidé d’éloigner leur fille en l’envoyant à la Cour d’Angleterre, la séparant ainsi de son cher ami. Leur séparation fut un réel supplice, mais les deux amis se sont promis d’entretenir une correspondance très régulière, ce qu’ils font d’ailleurs avec beaucoup d’assiduité. Eva lui raconte qu’elle gagne beaucoup de tournois à la Cour, en se faisant passer pour son frère Aymeric, ce qui amuse beaucoup Thomas, même s’il trouve que ce n’est pas très prudent de la part de la demoiselle de courir les tournois de la sorte. Parallèlement, Thomas raconte à la jeune femme ce qu’il se passe en Irlande. Il a longtemps essayé de lui cacher son inquiétude, mais il lui a finalement avoué que l’Irlande voit d’un très mauvais œil l’influence qu’Anne Boleyn semble exercer sur le Roi. Il est absolument contre la Réforme et il s’emporte souvent, dans ses lettres contre un roi qui oublie son peuple au profit de son bonheur personnel. Voyant qu’il est inutile de chercher à calmer ses ardeurs, Eva a décidé d’aider son ami, quoiqu’il arrive. Ainsi ont-ils convenu qu’Eva serait ses yeux à la Cour, et qu’elle profiterait de sa position confortable et avantageuse pour espionner un peu pour son compte, jusqu’à ce que lui-même puisse venir à Londres…


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Victoria Wellington feat Miranda Kerr

Lorsque le père d’Eva a exigé que la demoiselle quitte l’Irlande pour s’installer à Londres, il lui a dit qu’il lui avait trouvé une place très honorable à la Cour. En effet, le père d’Eva connaissait de son vivant le mari de Victoria. Ainsi, quand il a écrit à la duchesse pour lui demander d’accepter de prendre Eva à son service, la jeune femme n’a pas pu refuser « en mémoire à l’amitié que son époux lui portait ». D’ailleurs, les deux jeunes femmes s’entendent à merveille. Eva ne comprend pas pourquoi tant de dames à la Cour ne supportent pas la veuve Wellington, mais elle suppose que c’est uniquement par jalousie, car, pour sa part, elle apprécie cette femme. Son unique crainte est que Victoria devine un jour son secret, et s’aperçoive que « le chevalier Aymeric » et elle ne font en fait qu’un.


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Alcide della Speranza feat Gaspard Ulliel

La jeune femme était entrain d’épier le secrétaire Cromwell pour le compte de son ami d’enfance, lorsque tout à coup, elle sentit une main se plaque sur sa bouche et un bras passer autour de sa taille. On l’entraina dans un coin sombre du château de Whitehall. Alcide ne la lâcha que lorsqu’il était sûr d’être seul avec elle dans ce couloir. Il lui dit de ne surtout pas crier, sans quoi il l’égorgerait sans remord. Il lui demanda qui elle était et ce qu’elle faisait devant le bureau du secrétaire. En effet, il craignait de n’être pas le seul espion à la Cour, et, en voyant cette femme observer sa proie, il avait cru qu’elle aussi avait été missionnée pour épier les personnes haut placées ici présentes. Mais il voulait donc savoir pour qui elle travaillait. Il retira sa main de la bouche de la jeune femme pour qu’elle puisse lui répondre, mais il resta derrière elle et la garda prisonnière contre lui. Eva, à peine remise de ses émotions, réfléchissait à une réponse correcte. Elle pourrait se retourner et lui planter sa dague dans l’œil, à cette espèce de goujat. Mais elle opta pour une réaction moins suspecte et surtout plus discrète, et répondit avec des tremblements dans la voix : « J’ai fait tomber ma boucle d’oreille devant la porte du bureau de monsieur Cromwell, et j’étais entrain de la chercher quand vous êtes arrivé derrière moi ». Alcide fut stupéfait de sa réponse. Il se demanda si elle mentait et aurait continué à l’interroger un peu, s’il n’avait pas entendu de bruit venant d’un couloir adjacent. Sans un mot, il relâcha la marquise et s’en alla précipitamment et aussi silencieusement qu’il était arrivé. Eva n’a pas pu voir son visage, mais elle sait à présent qu’il y a au moins un homme dont elle doit se méfier ici, à la Cour. Elle devra donc être plus discrète, à l’avenir. Quant à Alcide, il considère que ce charmant entretien n’est absolument pas terminé et Eva fait maintenant partie des personne qu’il tient à garder à l’œil.


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Elinore Fitzgerald feat Barbara Palvin

Depuis qu’Elinore est fiancée à Thomas, elle fait intercepter les lettres qu’il envoie et qu’il reçoit, pour lire ses correspondances en secret. Elle veut être sûre, avant de l’épouser, que le jeune homme ne cache pas d’obscur secret ou n’a pas un passé trouble. Pour le moment, elle est parfaitement satisfaite de ses lectures, et les lettres qui l’amusent le plus sont celles d’Eva Cordell. La jeune femme est une amie d’enfance de son fiancé et a été exilée à Whitehall, où elle est dame de compagnie d’une Duchesse richissime. Elinore soupçonne que Thomas et Eva sont amoureux, sans même s’en rendre compte eux-mêmes. Cela ne la dérange pas le moins du monde. Ce qui la réjouit beaucoup, en revanche, c’est qu’en interceptant ces lettres, elle a appris que la jeune Cordell a usurpé l’identité et le titre de noblesse d’un de ses frères, et qu’elle s’en sert pour participer à des tournois équestres sous le nom de « Chevalier Aymeric ». Oh, rien n’enthousiasme plus Elinore que d’être au courant d’un secret inavouable ! Le chantage, ça la connaît. Pour le moment, elle garde cette information cruciale bien au chaud, mais il est certain qu’un jour, elle s’en servira !


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Henri II de Navarre feat Christian Bale

Lors d'un de ses passages à Londres, Henri n'a pu résister à la tentation de participer à un tournoi, lui qui est fin batailleur. Il fut opposé à un certain Aymeric. Un jeune homme fin et délié qui lui fit subir une défaite cuisante. Particulièrement étonné de sa dextérité, il le suivit à la fin du tournoi et le vit disparaître sous une tente. Attendant quelques secondes, il finit par rentrer pour le féliciter. Ce qu'il découvrit le laissa sans voix. Une jeune femme, à la chevelure d'or se cachait sous le heaume d'Aymeric. Elle le supplia de ne pas révéler son secret. Impressionné, Henri lui promit le silence, lui proposant même de l'entraîner si elle le souhaitait. Il en vint à considérer cette jeune Howard comme une petite soeur qu'il se doit de protéger.


Si vous avez des questions sur ce personnage,
merci de contacter Eloïse du Mauroi par MP.



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